Ouistiti pygmée
Fiche Information
Nom scientifique : Cebuella pygmaea
Mode de vie : groupe monoparentaux
Milieu : Forêt tropicale
Taille : 12-15 cm +17-23 cm pour la queue
Longévité : jusqu’à 18 ans en captivité
Maturité sexuelle : entre 12 et 18 mois
Gestation : 4 à 5 mois
Reproduction : Mai à Juin et entre Octobre et Janvier
Poids moyen : 85g à 150g
Nourriture : Omnivore
Statut de conservation :
Répartition géographique

Description
Le ouistiti pygmée ou aussi appelé ouistiti nain appartient à la famille des Callitrichinae. Cette famille regroupe les primates miniatures avec les ouistitis, les tamarins, les pinchés ou encore les petits singes-lions.
Le Saviez-vous ?
Particularité
Morphologie
La femelle est légèrement plus grande que le mâle. Leur robe présente une partie supérieure brunâtre ou verdâtre, mêlée de fauve, de gris et de noir. Leur longue queue est annelée de noir, et leur tête ronde est ornée de poils plus longs formant une sorte de crinière. Enfin, les pattes sont courtes et munies de longs doigts fins.
Le ouistiti pygmée mesure de 12 à 15 cm et la longueur de leur queue est de 17 à 23 cm.
Répartition géographique
Il fréquente tous les types de forêts du nord de l’Amazonie et reste généralement en lisière et à proximité d’un cours d’eau.
Régime alimentaire
Le ouistiti pygmée est à la fois insectivore et frugivore. De plus, lors des saisons sèches, il est même capable de manger un œuf ou la cervelle d’oisillons.
Structure sociale
Ce singe vit en groupe monoparentaux composé des parents et des jeunes. Cela représente entre 10 à 15 individus.
Reproduction
La femelle donne naissance à 2 jeunes deux fois par an au terme d’une gestation de 4 à 5 mois. Ces derniers restent dépendants de leur mère pendant un mois. Ce primate est sexuellement mature entre 12 et mois, mais n’atteint sa taille adulte que vers 2 ans.
Protection de l’espèce
Le ouistiti pygmée n’est qu’en préoccupation mineure sous la liste rouge de l’IUCN car ses effectifs connus sont suffisamment importants. Néanmoins, il ne faut pas négliger les risques liés à la déforestation détruisant son habitat naturel ainsi que les captures qui le destinent à devenir un animal de compagnie.